Parmi tous les passages obligés de la création de son entreprise, il y a celui du « plan marketing » : qu’est-ce que je vais vendre, à qui, comment, est-ce qu’il y a un marché, à quel prix, où m’installer ? …. La liste est longue, et jamais close, vous rencontrerez toujours quelqu’un de bon conseil pour vous dire « Et tu as pensé à ça ??? ». C’est agaçant …
Et pourtant, Michel LE BERRE le souligne bien : « Il ne faut pas foncer tête baissée , il faut s’entourer de compétences, aller voir ce qui se passe ailleurs, faire un tour d’horizon complet. La démographie est un critère important, surtout qualitativement : qui arrive, quelle tranche d’âge, quels moyens financiers, …Il faut consulter ces données sur le CREDOC, l’INSEE : indice de richesse vive, le panier moyen consommé... ». Pour Marie-Hélène ARBENOITZ, la problématique est bien différente, puisqu’elle reprend le salon qu’elle dirigeait ; la clientèle est là, elle la connaît très bien. Son salon a déjà plusieurs avantages : « un bon emplacement : parking à proximité, un lieu d’animation (ici c’est la halle), et une large vitrine, on doit voir ce qui se passe dedans, s’il y a du monde (c’est comme au restaurant, le monde attire le monde !). La clientèle ne s'est presque pas aperçu du changement d’enseigne, j’ai repris l’intégralité du personnel.»
Et pourtant, Michel LE BERRE le souligne bien : « Il ne faut pas foncer tête baissée , il faut s’entourer de compétences, aller voir ce qui se passe ailleurs, faire un tour d’horizon complet. La démographie est un critère important, surtout qualitativement : qui arrive, quelle tranche d’âge, quels moyens financiers, …Il faut consulter ces données sur le CREDOC, l’INSEE : indice de richesse vive, le panier moyen consommé... ». Pour Marie-Hélène ARBENOITZ, la problématique est bien différente, puisqu’elle reprend le salon qu’elle dirigeait ; la clientèle est là, elle la connaît très bien. Son salon a déjà plusieurs avantages : « un bon emplacement : parking à proximité, un lieu d’animation (ici c’est la halle), et une large vitrine, on doit voir ce qui se passe dedans, s’il y a du monde (c’est comme au restaurant, le monde attire le monde !). La clientèle ne s'est presque pas aperçu du changement d’enseigne, j’ai repris l’intégralité du personnel.»
Deux contextes différents, deux approches bien entendu différentes. Michel LE BERRE est en conquête pure sur le domaine commercial, rien ne doit être laissé au hasard. Pour Marie-Hélène, le salon est performant, il s’agit plutôt dans la reprise de conserver les acquis, l’image, l’ambiance de son salon, en apportant bien-sûr des touches plus personnelles.
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