Eh oui, on n’y pense pas toujours, mais avant de se précipiter à la chambre de commerce de son département, ce peut être une bonne idée que d’échanger sur son projet avec d’anciens copains de classe. D’abord, le contact est tout de suite facile « on est en quelque sorte de la même famille ! », certains ont sans doute déjà créé leur entreprise et ont plein de conseils à vous donner, de personnes à vous faire rencontrer, et puis il y a la proximité du corps enseignants, avec certains qui n’hésiteront pas à vous accordez quelques instants pour monter un dossier « béton ». Gilles CAYROLLE nous raconte comment il a retrouvé utilement son passé estudiantin : « J’ai consulté les listing d’entreprises à reprendre de l’ESC PAU (je suis toujours resté en contact avec l’association des anciens élèves et j’en suis même actuellement le trésorier). J’ai très vite repéré cette PME de 8 salariés : 2IRS, et ai pu facilement me mettre en contact avec son comptable, membre de l’association des anciens élèves. J’ai pris toute sorte de renseignements : Union des Entreprises de Tarbes, bilan, extrait Kbis et j’ai fait un travail « en sous-marin » de connaissance approfondie de cette entreprise, avant même d’en rencontrer le cédant. J’ai étudier le dossier avec un professeur de l’ESC PAU. Cette partie a pris 6 mois : partie financière (comptable, prof), partie commerciale (avec mon frère) et partie stratégie. »
Certaines écoles font même de leur association d’anciens élèves un atout de réussite professionnelle pour leur étudiants. A ma connaissance, les Arts et Métiers excellent dans cette dynamique, mais il y en a sans doute beaucoup d’autres.
Certaines écoles font même de leur association d’anciens élèves un atout de réussite professionnelle pour leur étudiants. A ma connaissance, les Arts et Métiers excellent dans cette dynamique, mais il y en a sans doute beaucoup d’autres.
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