Ce qui fait souvent reculer devant un projet, ou du moins hésiter, c’est la complexité de la démarche, ou son apparente difficulté. Avec quelques mois de recul, Xavier MOREL et André FRAISSE se montrent finalement agréablement surpris sur ce point.
André : "La surprise majeure (bonne !) : je pensais que ça allait être plus difficile que ça n’a été. Ca se passe super bien ! Je trouve en plus que c’est plus cool que lorsqu’on était salarié !
Xavier : Pour moi, en revanche, c’est plus prenant : il y a la gestion des stocks dont je ne m’occupais pas lorsque j’étais salarié, il faut anticiper sur les menus proposés dans les jours à venir.
André : Ce qu’on fait, c’est pour nous, on pilote notre activité, on fait ce qu’on veut. Notre qualité de vie s’est considérablement améliorée. Il m’arrive fréquemment le soir d’aller dîner chez des confrères. Ca permet de garder des liens avec la profession, mais c’est aussi, il faut bien le dire, par soucis de curiosité : c’est ce qu’on appelle de la « veille concurrentielle » !
Xavier : Je me permets des choses en cuisine que je ne faisais pas avant, des créations … je ne me serais jamais amusé comme ça en restant salarié ! En plus, je fais tout, tous les plats son faits « maison » alors qu ’avant il nous arrivait de servir des pâtisseries confectionnées à l’extérieur. Personnellement, c’est une grande satisfaction.
Le moins agréable aujourd’hui : refuser des clients, à cause du manque de place ! 1 serveuse nous permettrait d’assurer 15 à 20 couverts de plus. Aujourd’hui, on a environ tous les jours 50 % « d’ habitués » et 50 % de nouveaux clients.
La plus grande satisfaction : les témoignages et le retour des clients.
Nos atouts aujourd’hui, c’est la rapidité de notre service, la qualité de nos menus et la proximité des zones de travail. »
La perception de l’un et de l’autre n’est certes pas la même, mais on sent dans chacun de leur témoignage un réel accomplissement personnel, qui replace au premier rang des motivations cette satisfaction et ce plaisir d’être devenu pilote de sa vie professionnelle.
André : "La surprise majeure (bonne !) : je pensais que ça allait être plus difficile que ça n’a été. Ca se passe super bien ! Je trouve en plus que c’est plus cool que lorsqu’on était salarié !
Xavier : Pour moi, en revanche, c’est plus prenant : il y a la gestion des stocks dont je ne m’occupais pas lorsque j’étais salarié, il faut anticiper sur les menus proposés dans les jours à venir.
André : Ce qu’on fait, c’est pour nous, on pilote notre activité, on fait ce qu’on veut. Notre qualité de vie s’est considérablement améliorée. Il m’arrive fréquemment le soir d’aller dîner chez des confrères. Ca permet de garder des liens avec la profession, mais c’est aussi, il faut bien le dire, par soucis de curiosité : c’est ce qu’on appelle de la « veille concurrentielle » !
Xavier : Je me permets des choses en cuisine que je ne faisais pas avant, des créations … je ne me serais jamais amusé comme ça en restant salarié ! En plus, je fais tout, tous les plats son faits « maison » alors qu ’avant il nous arrivait de servir des pâtisseries confectionnées à l’extérieur. Personnellement, c’est une grande satisfaction.
Le moins agréable aujourd’hui : refuser des clients, à cause du manque de place ! 1 serveuse nous permettrait d’assurer 15 à 20 couverts de plus. Aujourd’hui, on a environ tous les jours 50 % « d’ habitués » et 50 % de nouveaux clients.
La plus grande satisfaction : les témoignages et le retour des clients.
Nos atouts aujourd’hui, c’est la rapidité de notre service, la qualité de nos menus et la proximité des zones de travail. »
La perception de l’un et de l’autre n’est certes pas la même, mais on sent dans chacun de leur témoignage un réel accomplissement personnel, qui replace au premier rang des motivations cette satisfaction et ce plaisir d’être devenu pilote de sa vie professionnelle.
1 commentaire:
Créer une entreprise en France n'est pas si difficile, c'est même plutot simple finalement... d'un point de vue administratif du moins, financièrement c'est autre chose :)
Par contre piloter seul son entreprise n'est pas un long fleuve tranquille surtout lorsqu'on commence à avoir des salariés. Il faut donc savoir s'entourer de bons conseils, si possible dans le cercle des proches... Malheureusement tout le monde n'a pas un expert comptable, un juriste, un spécialiste du droit du travail ou un champion du marketing dans son entourage.
Néammoins cela vaut le coup d'esayer de se constituer un mini board en rassemblant les compétences de proches
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