Notre société est en pleine mutation : le prix des énergies, depuis longtemps promis mais toujours ignoré par la société, est aujourd’hui au centre des préoccupations de tous : salariés, chefs d’entreprises, agriculteurs, marins pêcheurs, professions libérales, retraités …. Tous et toutes sommes tombés en quelques semaines sous le joug de ce nouveau fléau économique, et nous nous demandons comment appréhender les nouvelles donnes de cette économie dont nous sommes bel et bien prisonniers.
Certains ont déjà pris des mesures : le co-voiturage s’intensifie, les vélos sont ressortis des garages, la conduite se modifie sensiblement, les entreprises réfléchissent à une optimisation des déplacements, le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne en a apporté la preuve sur l' antenne de RMC Info en début de semaine Cliquez pour Ecouter l’Interview.
Economiquement, nous nous demandons tous si cela suffira, mais sur le plan écologique, il faut bien reconnaître que l’effet est bénéfique … ENFIN aurait-on tendance à dire !
Et vous qui avez un projet aujourd’hui, vous devez veiller à intégrer ces nouvelles données. La population sera-t-elle demain répartie de la même façon qu’aujourd’hui : certains ont déjà pris la décision de se rapprocher des villes et de leur lieu de travail (CF Nouvelle République Hautes Pyrénées 14 juin) . Ou à l’inverse peut-on anticiper un re-déploiement des zones de production en proximité des zones de consommation : l’agriculture devrait en tirer bénéfices, le coût d’importation mettant ces produits dans une situation concurrentielle de moins en moins favorable. Mais également les activités de services, certaines industries, le textile pourquoi pas ? Le e-commerce va-t-il exploser ? Sans parler bien entendue de la myriade de créations d’entreprises aujourd’hui dans le secteur des énergies renouvelables.
Il est difficile d’obtenir aujourd’hui des prospectives argumentées sur ce phénomène, au-delà du simple mais parfois dramatique impact du prix des carburants sur le porte monnaie des particuliers et des professionnels.
Le créateur ou le repreneur se doit de réfléchir à son projet à la lumière de ces nouveaux éléments. Plus que de les craindre par peur du futur et de ses mutations, mieux vaut anticiper la reconversion de nos modes de vie et de travail vers des pratiques mieux respectueuses de notre environnement, et qui nous libèreront surtout du piège du « tout pétrole ».
Lire à ce sujet l’article de Maximilien ROUER, PDG de BeCitizen (Conseil en Stratégie pour une Economie Positive et Durable) sur le site de La TRIBUNE, ou consultez également leur site.
Certains ont déjà pris des mesures : le co-voiturage s’intensifie, les vélos sont ressortis des garages, la conduite se modifie sensiblement, les entreprises réfléchissent à une optimisation des déplacements, le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne en a apporté la preuve sur l' antenne de RMC Info en début de semaine Cliquez pour Ecouter l’Interview.
Economiquement, nous nous demandons tous si cela suffira, mais sur le plan écologique, il faut bien reconnaître que l’effet est bénéfique … ENFIN aurait-on tendance à dire !
Et vous qui avez un projet aujourd’hui, vous devez veiller à intégrer ces nouvelles données. La population sera-t-elle demain répartie de la même façon qu’aujourd’hui : certains ont déjà pris la décision de se rapprocher des villes et de leur lieu de travail (CF Nouvelle République Hautes Pyrénées 14 juin) . Ou à l’inverse peut-on anticiper un re-déploiement des zones de production en proximité des zones de consommation : l’agriculture devrait en tirer bénéfices, le coût d’importation mettant ces produits dans une situation concurrentielle de moins en moins favorable. Mais également les activités de services, certaines industries, le textile pourquoi pas ? Le e-commerce va-t-il exploser ? Sans parler bien entendue de la myriade de créations d’entreprises aujourd’hui dans le secteur des énergies renouvelables.
Il est difficile d’obtenir aujourd’hui des prospectives argumentées sur ce phénomène, au-delà du simple mais parfois dramatique impact du prix des carburants sur le porte monnaie des particuliers et des professionnels.
Le créateur ou le repreneur se doit de réfléchir à son projet à la lumière de ces nouveaux éléments. Plus que de les craindre par peur du futur et de ses mutations, mieux vaut anticiper la reconversion de nos modes de vie et de travail vers des pratiques mieux respectueuses de notre environnement, et qui nous libèreront surtout du piège du « tout pétrole ».
Lire à ce sujet l’article de Maximilien ROUER, PDG de BeCitizen (Conseil en Stratégie pour une Economie Positive et Durable) sur le site de La TRIBUNE, ou consultez également leur site.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire