"Le penseur ", 1978, CHAÏBIA, artiste marocaine
Comme Marie-Hélène ARBENOITZ vous retrouvez-vous du jour au lendemain avec un choix draconien devant vous : reprendre l’entreprise dans laquelle vous travaillez ou risquer d'être dirigé par un nouveau patron … duquel on ne connaît rien !
Un des soucis à surmonter dans la reprise d’entreprise est la réaction de l'entourage professionnel. Marie Hélène ARBENOITZ témoigne de son expérience : « Je suis fière d’avoir préservé les emplois. Ca ne se passe pas bien avec l’une des salariées, qui n’accepte pas mon changement de statut, elle a démissionné, on ne peut pas contraindre quelqu’un qui se sent mal, c’est mieux comme ça, et puis ce malaise se faisait sentir sur toute l’équipe, c’est pas bon. Sinon pour les autres, tout va bien. Dans un premier temps, elles ont eu peur qu’avec mon nouveau rôle, mon caractère et mon rapport à elles changent, mais elles voient aujourd’hui que ce n’est pas le cas. Il faut une bonne dose de patience, expliquer et ré-expliquer plusieurs fois les choses sans s’énerver. Une bonne ambiance entre les salariés, ça se travaille, et c’est un gage de réussite : les clients sentent très vite si le climat est sympa ou pas, si les gens s’entendent ou pas. L’effet est direct sur le chiffre d’affaires ! ». La lecture de ces mots m’inspire une réflexion : une des clés de réussite serait en fait « savoir rester soi-même dans le changement ». Bien sûr le changement de rôle entraînera des changements d’attitude, plus de décisions à prendre, plus de problèmes à résoudre et de compromis à trouver … mais dans le fond il faut aussi savoir rester soi, certainement pour rassurer son entourage et ainsi garder sa confiance ... Challenge pas facile je crois, non ?
« Je me rends compte qu’il faut être passionné par son métier, ça aide à surmonter les moments difficiles, il faut aussi peut-être être un peu fou !!! » (Marie Hélène ARBENOITZ)
Un des soucis à surmonter dans la reprise d’entreprise est la réaction de l'entourage professionnel. Marie Hélène ARBENOITZ témoigne de son expérience : « Je suis fière d’avoir préservé les emplois. Ca ne se passe pas bien avec l’une des salariées, qui n’accepte pas mon changement de statut, elle a démissionné, on ne peut pas contraindre quelqu’un qui se sent mal, c’est mieux comme ça, et puis ce malaise se faisait sentir sur toute l’équipe, c’est pas bon. Sinon pour les autres, tout va bien. Dans un premier temps, elles ont eu peur qu’avec mon nouveau rôle, mon caractère et mon rapport à elles changent, mais elles voient aujourd’hui que ce n’est pas le cas. Il faut une bonne dose de patience, expliquer et ré-expliquer plusieurs fois les choses sans s’énerver. Une bonne ambiance entre les salariés, ça se travaille, et c’est un gage de réussite : les clients sentent très vite si le climat est sympa ou pas, si les gens s’entendent ou pas. L’effet est direct sur le chiffre d’affaires ! ». La lecture de ces mots m’inspire une réflexion : une des clés de réussite serait en fait « savoir rester soi-même dans le changement ». Bien sûr le changement de rôle entraînera des changements d’attitude, plus de décisions à prendre, plus de problèmes à résoudre et de compromis à trouver … mais dans le fond il faut aussi savoir rester soi, certainement pour rassurer son entourage et ainsi garder sa confiance ... Challenge pas facile je crois, non ?
« Je me rends compte qu’il faut être passionné par son métier, ça aide à surmonter les moments difficiles, il faut aussi peut-être être un peu fou !!! » (Marie Hélène ARBENOITZ)
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