Mais quel est le point d'orgue de notre Saga de la rentrée : le Triangle de SIGAULT ? Le suspens est insoutenable, je sais, pour celles et ceux d'entre vous qui vous êtes plongés dans cette épopée. Votre patience va être récompensée !! (Pour ceux qui ont raté quelques épisodes, on retour en arrière sur le Blog s'impose !)Plus rare me dire-vous, voire impossible : le sujet coupé de tout ! Bien-sûr vous en conviendrez, il importe à tout un chacun (surtout créateur) d’être à la fois ouvert à son environnement social, et au réel, et heureusement. Toutes les dispositifs d’accompagnement (études de marchés, plan de financement, rencontres professionnelles) servent d’ailleurs à cela. Le danger vient plus tard, quand on prend confiance en soi, parce que les premiers résultats sont bons et que l’on se souvient des mises en garde trop sévères de son entourage, ou de ses craintes aujourd’hui injustifiées sur son analyse du réel … « Heureusement que je ne les ai pas écoutés » se dit-on …, ou encore « j’ai bien fait de suivre mon intuition… ». Attention à ce stade à ne pas prendre trop de hauteur sur les évènements, de lâcher les freins par excès d’assurance, d’autant que c’est à ce moment là que le chef d’entreprise est plus seul et donc moins confronté aux autres et risque de s’égarer sur des chemins hasardeux. Pour la petite histoire, une coupure totale du sujet au réel et à son champ social, c’est … l’aliènation mentale, le délire personnel, la folie. Mais vous avez raison … ça n’arrive qu’aux autres !
Conclusion : Garder les pieds sur terre !
Le triangle de SIGAULT est emprunté aux théories de la psychologie du travail, et surtout de la dynamique sociale dans les milieu de travail. Les coupures dont je viens de faire état sont bien-sûr, si elles sont radicales, de l’ordre de la pathologie. Sans en arriver là, je crois quand même que ce concept éclaire bien le double ancrage que chaque créateur, chaque repreneur doit préserver, équilibrer entre le réel de son projet (ce qu’il voit, ce qu’il sent, la lecture des données terrain, de marché, ses interprétations …) et l’image du projet renvoyée par son entourage, qu’il soit professionnel ou personnel, telle celle reflétée par un miroir.
Cela revient en somme à toujours garder à l’esprit le recul suffisant pour à la fois enrichir le réel (la lecture que l’on en fait) grâce à l’apport de son entourage, mais aussi savoir relativiser sans les écarter les mots de l’autre par le réel, mais aussi ses valeurs, ses propres objectifs.
Le triangle de SIGAULT est emprunté aux théories de la psychologie du travail, et surtout de la dynamique sociale dans les milieu de travail. Les coupures dont je viens de faire état sont bien-sûr, si elles sont radicales, de l’ordre de la pathologie. Sans en arriver là, je crois quand même que ce concept éclaire bien le double ancrage que chaque créateur, chaque repreneur doit préserver, équilibrer entre le réel de son projet (ce qu’il voit, ce qu’il sent, la lecture des données terrain, de marché, ses interprétations …) et l’image du projet renvoyée par son entourage, qu’il soit professionnel ou personnel, telle celle reflétée par un miroir.
Cela revient en somme à toujours garder à l’esprit le recul suffisant pour à la fois enrichir le réel (la lecture que l’on en fait) grâce à l’apport de son entourage, mais aussi savoir relativiser sans les écarter les mots de l’autre par le réel, mais aussi ses valeurs, ses propres objectifs.
Si malgré la légèreté de ces propos, un soudain mal de tête apparaissait, cliquez sans tarder sur le petit pictogramme en haut à gauche du Blog ... effet immédiat garanti !!!
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