Table ronde (de g à d) : Jean Marie SERONIE (Veille économique CER France,
Jean Louis CAZAUBON, Claude MIQUEU (Président CDDE 65), Henri NALLET,
Dominique PELLISSIE (DRAF Midi-Pyrénées)
Jean Louis CAZAUBON, Claude MIQUEU (Président CDDE 65), Henri NALLET,
Dominique PELLISSIE (DRAF Midi-Pyrénées)
Jean Louis CAZAUBON
Claude MIQUEU
Claude MIQUEU
Tel est le message plein d'espoir et d'optimisme de Jean Louis CAZAUBON, président de la chambre d'agriculture des Hautes Pyrénées et administrateur du Crédit agricole Pyrénées Gascogne, délivré lors de la table ronde qui s'est tenue Vendredi 12 octobre dans le cadre de l'anniversaire des 50 ans du CER 65, Centre de Gestion au service de l'agriculture et des professionnels du monde rural du département des hautes Pyrénées.
La soirée a été haute en couleurs et animée en débats qui ont inévitablement (contexte oblige) débouchés sur le thème des "agrocarburants", des OGM et plus largement sur la place de l'agriculture demain en Europe.
Il faut poser le problème sereinement, donner une plus grande lattitude d'investigations "honnêtes" aux scientifiques et économistes. L'émotion de l'opinion publique actuelle ne permet pas pour l'instant cela, ou du moins n'y donnera pas un écho suffisament dépassionné pour avancer utilement dans le débat et dans l'appui aux décisions à prendre ... pourtant, il faut aller très vite.
L'équipe du marché agri de Pyrénées Gascogne : Gilbert BARRAQUE, Jean-Louis CAZAUBON (Administrateur), Nicolas DAUBE et Alain DE-LAPPARENT.
Ce qui semble sûr, c'est la place majeure de l'agriculture dans l'économie mondiale de demain, et les changements radicaux qui s'opérent aujourd'hui sous nos yeux, matérialisés par la flambée des cours des matières premières dans de nombreux domaines (céréales, lait, ...). Alors haut les coeurs, vous qui vous apprêter à reprendre ou même créer une activité dans la filière verte, l'avenir semble promis à de belles perspectives, pourvu que chacun puisse habilement appréhender les changements en cours.
1 commentaire:
Le plus étonnant dans cette approche, est la façon dont on pose le problème :
- « Produire plus et produire encore plus », notamment des produits destinés à ne pas modifier nos comportements et nos habitudes de consommation, particulièrement en matière de déplacements… Donc, pas de remise en cause…Auquel cas, les OGM constituent bel et bien une solution technique. Mais qui dit « solution technique » occulte bon nombre de paramètres qu’il serait intéressant d’envisager pour faire le tour du problème.
- Quant à l’approche « Produire ceci ou cela », qui implique une notion de choix, celle-ci n’est malheureusement pas envisagée.
«J’aimerais avoir 25 ans pour m’installer », mais que l’on me laisse le choix de mes décisions qui engageront ma génération et celle des générations futures…
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
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