mardi 26 février 2008

L’ADMR 65 signe une convention « assurance » avec le crédit agricole Pyrénées Gascogne

Le 19 Décembre 2007, l’ADMR des Hautes Pyrénées et le crédit Agricole Pyrénées Gascogne ont signés une convention « sur mesure » pour la couverture de 2 types de risque concernés par les activités de l’association.

L’ADMR (Aide à Domicile en Milieu Rural) est une association, gérée donc par des bénévoles (ils sont 600 sur le département), qui emploie quelques 1150 personnes (500 équivalent temps plein). Autant dire que son activité se rapproche davantage de celle d’une PME que d’une petite association de quartier ! La vocation de cette association est de maintenir les personnes dépendantes dans leur milieu de vie grâce à des services indispensables et adaptés. Il s’agit donc d’aide au ménage, aux petits travaux d’entretiens, au portage de repas à domicile … tout cela avec un coût le plus bas possible. L’association se charge d’ailleurs de faire appels aux aides de l’état en la matière, et effectue le montage des dossiers si nécessaire.

Le volet de l’assurance, lorsque l’on emploie plus de 1000 personnes est un point incontournable de la gestion de cette association. Avec leur interlocuteur au Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, Serge GAYE, Marie José DAGUIN , présidente et Daniel ADER , trésorier ont étudier les besoins et la couverture risque la plus adaptée. 2 contrats ont donc été consignés dans la convention :

Ö La responsabilité civile des dommages que peuvent causer les salariés et les bénévoles de l’association aux tierces personnes, dans le cadre des activités de l’ADMR. Ce contrat prévoit entre autre une Franchise 0 pour tout dommage.
Ö La couverture « auto collaborateur » : dans le cadre de l’usage de son véhicule personnel par un salarié pour les besoins de son travail, la convention prend le relais de l’assurance personnelle du salarié. C’est un indéniable avantage social : il est assuré tout risque et ne subit aucun malus personnel s’il est responsable d’un sinistre.

vendredi 22 février 2008

Assurer QUI ? Assurer QUOI ?

Sur l’aspect « assurer quoi », chacun de vous pense quasi systématiquement « biens mobiliers et immobiliers » : les véhicules de mon entreprise , le matériel, les bâtiments … voire biens immatériels : les brevets, les marques déposées. Certes, mais n’oubliez vous pas l’essentiel ? ET VOUS ? La plupart des créateurs ou repreneurs sont passés par le statut de salarié, qui leur a apporté une couverture sociale large, notamment en cas de maladie et d’accident du travail. La couverture du chef d’entreprise est nettement plus réduite, et ça, on a un peu tendance à l'oublier ! Prenons l'exemple des Indemnités Journalières : les artisans commerçants ne percevront qu’au bout d’un an d’affiliation de 18€ à 45€/jour en fonction des revenus annuels ; pour les agriculteurs 20€/jour, et pour les professions libérales les délais de carence sont importants (3 mois). Difficle avec ça de couvrir les frais d'un remplacement éventuel. D’où la nécessité, voire même l’obligation pour vous de souscrire des garanties complémentaires. Le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne propose une offre simple « Créateur Repreneur » avec une Garantie de Revenus (en cas d’arrêt de travail) associée la Valeur Prévoyance (Capital versé en cas de décès) à des conditions préférentielles (à partir de 1,5 €/par jour).

Au delà de ça, il y a aussi la Garantie Accidents de la Vie qui va couvrir plus largement les risques de type préjudices économiques et même personnels pour toute la famille (ex : CAPG : jusqu’à 2 millions d’€uros de capital versé).

Le plus important dans votre entreprise, c’est bien VOUS, et personne d’autre. D’où la nécessité donc pour vous et vos proches qui seront impliqués, de faire un bilan global assurance avec un conseiller spécialisé, et de déterminer vos priorités.
Réalisez votre bilan assurance : Cliquez ici

mardi 19 février 2008

Créer, Reprendre, Etudier le Marché, Financer, mais aussi ASSURER !

Je vous propose, ces prochains jours, un petit tour d’horizon sur le domaine de l’assurance. Ce n’est pas le volet de la création ou de la reprise le premier investi. En effet, le projet du créateur ou du repreneur s'attarde d'emblée sur les notions de financement, d'étude de marché, de statuts juridique, fiscal, social ... mais l'aspect de l'assurance de son activité, des biens matériels comme des individus et de leur responsabilité, est souvent laissé plus de côté … on verra plus tard ... et pourtant ... gérer c’est prévoir, c’est donc prévoir le pire pour garantir le meilleur. L’assurance doit donc aussi être une préoccupation de premier ordre.

Qu’entend-on d’ailleurs au juste par « assurance professionnelle » : assurer qui, assurer quoi, contre quel type de risque ? Il y a celui qui voudra réduire le risque à néant … et s’assurer pour tout (ça peut coûter cher !), il y a l’autre à qui rien ne peut arriver, et qui ne voudra couvrir que le strict minimum.

Entre ces 2 positions, il s’agit pour vous de trouver le bon équilibre : Couvrir plutôt franchement les RISQUES MAJEURS (selon votre activité) et se prémunir « plus légèrement » des risques moins probables, bref, obtenir une bonne adéquation Coût / Couverture des Biens et des Personnes.

Si le sujet vous intéresse, soyez fidèle au Blog ces prochains jours, nous découvrirons ensemble l'approche thérorique de l'assurance, les diverses facettes de ce thème (dont parfois certaines qui nous sont inconnues) et toujours un témoignage d'un créateur sur l'approche de ses contrats.



vendredi 15 février 2008

Développement durable : de bonnes idées à aller chercher ce week end à PAU

Aujourd'hui vendredi et demain, les "Rencontres du développement durables" donneront à chacun de vous l'occasion d'aller s'approvisionner en idées et s'informer sur les actions émergentes de notre territoire sur le thème du développement durable.


C'est une conférence ce soir à 18 heures sur le thème "Fiscalité, financement et aides environnementales" qui lancera les exposés et les débats. Plus tard, à 20 h 30, le journaliste François de Closets, en préambule à la sortie de son livre "L'économie doit-elle avoir peur du développement durable ?" à paraître en mars, interviendra sur le thème " Ils ont choisi d'agir : 20 solutions pour demain ".


Eco-construction, électrivité photovoltaïque, écologie et emplois durables, ... tout porteur de projet a forcément intérêt aujourd'hui à s'intéresser à ces thèmes pour donner à son entreprise de demain d'être elle aussi ... durable.


Alors rendez-vous au palais Beaumont, de nombreux ateliers programmés durant ces 2 jours vous permettront d'échanger sur le ou les thèmes qui vous motivent. Pour plus de renseignements : http://www.zemediavert.com/

mardi 12 février 2008

Un client refuse de me payer … que faire !

Les affaires tournent bien, les commandes se succèdent et votre banquier arbore un sourire des plus radieux ! Félicitations, le démarrage de votre entreprise semble réussi. Cependant, en consultant votre facturation, vous vous apercevez qu’un client ne vous a toujours pas réglé 30 jours après la date d’échéance de la facture. Comment réagir ?

¤ 1er principe : ne pas laisser filer la situation « Je n’ai pas le temps de m’en occuper, et puis j’ai de la trésorerie en ce moment, ça n’est pas bien grave ! ». Ce client va rapidement comprendre qu’il peut compter sur vous pour lui procurer une trésorerie « pas chère » … et cela risque de devenir chez lui une habitude.
¤ Commencer par des relances de politesse. Souvent un simple appel téléphonique suffira à résoudre le problème. Cherchez à cerner la raison du non paiement : simple négligence ou difficultés momentanées de trésorerie. Dans ce dernier cas, vous pouvez accorder un délai supplémentaire de paiement mais dont l ‘échéance doit être précise et respectée (mieux vaut dans ce cas adresser un courrier qui va matérialiser votre accord verbal).
¤ Si le client est injoignable au téléphone, ou si l’appel n’a donné aucun résultat malgré l’engagement pris par votre client, il faut passer par la méthode écrite : Envoyez à votre client un premier courrier courtois de relance « Sauf erreur ou omission de notre part … »
¤ Sans résultat après 15 jours, procédez à une relance plus ferme sous forme de « mise en demeure de payer »
¤ Si vous n’avez à ce stade toujours pas de réponse, il faudra alors passer par une procédure « judiciaire » de recouvrement.

Cette facette du métier de chef d’entreprise en rebute plus d'un, le volume de vos créances peut de ce fait atteindre des niveaux importants. Certaines établissements bancaires vous proposent des solutions adaptées. Le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne en partenariat avec sa filiale Crédit Agricole Factoring vous propose « Créances Services », offre originale qui finance le délai de paiement accordé à vos clients et prend en charge l’intégralité des démarches de recouvrement de vos factures.

Renseignez dans les Agences du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne http://www.lefil.com/ ou au 0559127676

vendredi 8 février 2008

10 régles d'or pour convaincre son banquier


Telle était la divine promesse de l'intervention de Bruno ESPOSITO (Responsable Création transmission Crédit Agricole SA) hier lors d'une conférence au salon des entrepreneurs de Paris. Ainsi serait-il possible de séduire cet être étrange et réputé "frileux" qu'est votre banquier ? Ce qui marque à l'écoute de ses mots, c'est finalement la suprématie du bon sens et des échanges entre 2 personnes sur les chiffres correctement alignés sur un business plan... Bien se connaître, c'est déjà donner de la confiance à son partenaire financier, et donc installer un bon climat d'échange. Ensuite bien-sûr viennent des considérations plus "techniques" ou "pratiques" : bien connaître le marché, ses clients potentiels, même avec la meilleure idée du monde, inutile de penser que vous pourrez modeler subitement le marché à votre guise ! Autre point marquant : un porteur de projets a le droit d'avoir des incertitudes, pas des zones d'ombres ... la suite sur le site.

Vous pouvez retrouver l'intégralité AUDIO de la conférence, ou même en télécharger son contenu en cliquant sur ce lien

mardi 5 février 2008

Salon des Entrepreneurs à Paris



Le rendez-vous national de la création, reprise et développement de l'entreprise, c'est chaque année sur PARIS (malheureusement !). La 15ème édition ouvrira ses portes demain pour 2 jours ou chaque porteur de projet ou chef d'entreprise pourra largement "s'approvisionner" en idées, avis, outils, solutions, propositions de toutes sortes : 400 partenaires, un programme de 100 conférences, 70 ateliers et 11 grands débats ... un menu de fête qui impose une préparation minutieuse de sa visite : des prises de rendez-vous sont possibles à partir du site Internet : http://paris.salondesentrepreneurs.com/index.asp




Tous les thèmes touchant de près ou de loin à l'Entreprise seront abordés : les jeunes créateurs, les services à la personne, les franchises, l'innovation, le développement durable, l'exportation, la création par les femmes, le financement, Internet ...



Le Crédit Agricole est un partanaire actif de cette manifestation nationale. Il a récemment financé la parution du premier "Guide du Routard de la Création d'Entreprise" qui sera présenté lors de ce salon. Par ailleurs, Bruno ESPOSITO, responsable de la Création Reprise Transmission de Crédit Agricole SA animera 2 conférences sur le thème "Les 10 règles d'or pour convaincre son banquier : les pièges à éviter", auxquelles participeront Jean Paul GUILLOT, Responsable du marché des Professionnels de la caisse Crédit Agricole Franche Comté et Bernard HERAU, responsable Transmission et Ingéniérie Financière de la caisse Crédit Agricole Normandie Seine.



Pas moins de 80 000 visiteurs sont attendus durant ces 2 jours, dont 3 ministres et 1 secrétaire d'état ... preuve de l'importance de cette manisfestation qui devra inspirer nos animations locales autour de ce même thème dans les mois qui viennent.

vendredi 1 février 2008

La reprise : rompre avec le passé ou pas ?


Xavier FRAISSE et André MOREL ont repris ensemble un restaurant traditionnel tenu depuis longue date par un couple, et accueillant une clientèle ouvrière. Ils ont souhaité changer le type de restauration proposée pour mettre en œuvre leurs capacités professionnelles et attirer une nouvelle clientèle présente sur la zone d’implantation du restaurant. La rupture n’a pas été si simple. André raconte :

Nous avons eu une hésitation au départ : nous voulions « rompre » avec l’image du restaurant ouvrier de départ. On avait le choix entre le faire brutalement, ou progressivement. On a choisi de la faire brutalement : 1 grosse semaine de doute s’est ouverte … comment la clientèle allait-elle réagir ? Les anciens clients sont venus 1 fois, puis, ne trouvant plus le type de repas qu’ils cherchaient, ne sont plus revenus.

Pour trouver les nouveaux clients, on a fait du porte à porte pendant 15 jours dans toute la zone proche du restaurant, dans les entreprises essentiellement. On s’est présenté, et on a expliqué notre démarche : un restaurant différent (pas de menu ouvrier mais une formule rapide et plus « raffinée » pour une clientèle de bureau). Ca a marché tout de suite, en 15 jours, notre salle était quasiment pleine le midi, le bouche à oreille a fait le reste.


C’est un pari assez « osé » que d’abandonner une clientèle acquise et de se tourner vers une autre, moins probable. Mais une fois la décision prise, les moyens à déployés ont été conséquents (investissement temps personnel), et finalement payant.